S’il y avait un seul mot d’ordre pour aborder le nouveau contexte réglementaire de 2017, ce serait « numérisez ».
D’un côté votre métier de gestionnaire doit prendre en compte l’évolution de la législation environnementale. Avec la loi ALUR et surtout la Loi de Transition Energétique, la gestion des énergies consommées au sein d’un immeuble (parties communes ou privatives) est devenue un paramètre fondamental de la gestion immobilière.
La cour de cassation elle même considère comme négligeant et donc coupable, un syndic qui n’a pas réagi aux demandes répétées des copropriétaires d’isoler thermiquement le pignon nord de leur immeuble.
Vos clients copropriétaires, ont en effet désormais de légitimes préoccupations thermiques et énergétiques. Ils veulent plus de confort et moins de charges. Ils souhaitent préserver la valeur verte de leur patrimoine, comparée aux immeubles neufs.
Ainsi votre métier évolue et les données échangées tant avec vos clients copropriétaires qu’avec vos prestataires fournisseurs se multiplient par 10, par 100 par 1000. Les échanges sont quotidiens et se font en temps réel.
Dans ce nouveau contexte, rien ne sert de se voiler la face. Il n’est plus envisageable de travailler comme hier, avec des fichiers matérialisés. Place au numérique qui seul vous permettra de gagner du temps et d’être en permanence à jour.
Concernant les prestations de comptage divisionnaire (Eau ou chaleur), riches en données désormais journalières, vous ne pouvez plus faire l’impasse sur un Echange de Données Informatisées (EDI) performant et automatique. Parlez en à votre prestataire de comptage qui étudiera avec vous les solutions qui vous feront gagner le temps précieux dont vous avez besoin.
Gilles Gaillot